L’édition électronique permet d’offrir l’image des lettres à côté de leur transcription. à terme, l’essentiel des documents (ou de leur photocopie) devraient être scannés et visibles sur le site. Le mode de numérisation bitonal a été retenu, d’abord avec une définition de 300 dpi qui permet une bonne reproduction, ensuite (à partir des lettres de 1875) avec une définition de 72 dpi qui permet une bonne lecture à l’écran tout en donnant des images sensiblement moins « lourdes » en mémoire.

Pour les années 1783-1787, les lettres sont connues par des transcriptions récentes ; pour les années 1791-1795, elles sont connues par les copies faites au XIX^e siècle, dans sept volumes manuscrits. La première lettre originale conservée est datée du « 11 messidor an troisième »  (29 juin 1795).

Le lecteur est invité à faire sa propre interprétation du texte, à découvrir les graphies et conventions anciennes (orthographe, présentation, usage de l’espace de la feuille, etc.) et les fantaisies graphiques des épistoliers.